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économie - Page 9

  • La Suisse aide l'Algérie a mettre en place des filières de formation en apprentissage.

    La Suisse est le pays d'Europe où le taux de chômage est le plus bas, en particulier pour les jeunes, grâce à un système de formation particulièrement efficace : l'apprentissage. A la manière des compagnons du Moyen Age, les jeunes Suisse ont la possibilité d'apprendre un métier auprès de professionnels tout en étant rémunéré et en poursuivant en alternance leurs études, comme le montre ce reportage de RFI ;

    http://www.rfi.fr/emission/20150209-suisse-apprentissage-potion-magique-chomage/

     

    Cette formule est à présent exporté en Algérie, via des jumelages entre Alger et Genève et des expérimentations du modèle helvétique. Le Soir d'Algérie nous donne plus de détails :

    http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2014/06/10/article.php?sid=164618&cid=2

    Actualités : Conseiller à la vente
    Une nouvelle filière dans la formation professionnelle

    Le métier du conseiller à la vente est la nouvelle filière que proposera le secteur de la formation professionnelle à partir de la rentrée du mois de septembre prochain. Une spécialité dont le modèle de formation par apprentissage est inspiré du modèle suisse.

    Salima Akkouche - Alger (Le Soir)
    Le métier de la vente va désormais se professionnaliser. Mieux encore, le ministre de l’Enseignement et de la Formation professionnels, Noureddine Bedoui, ne veut plus qu’il y ait «un vendeur non qualifié dans les cinq prochaines années».

    Dans cet objectif, le secteur a intégré une nouvelle filière de formation dans la nomenclature nationale des spécialités qui est la branche de la distribution. Le métier du conseiller à la vente est une première spécialité qui sera intégrée et proposée aux apprentis à partir de la rentrée de septembre. Ce projet pilote de formation par apprentissage sera mené en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie Suisse- Algérie et le soutien technique de l’Office pour l’orientation, la formation professionnelle et continue du canton de Genève. L’Algérie a donc décidé de s’inspirer du modèle suisse.

    Pourquoi ? Selon le directeur de la Chambre Suisse-Algérie, Alain Roland, le modèle suisse a déjà fait ses preuves. Comment ? Avec un taux de chômage qui avoisine les 3,6%, contre une moyenne européenne de 28%, la Suisse, dit-il, est un modèle. Il a expliqué que le programme développé portera d’une part sur une formation en entreprise et sur des cours théoriques dans un centre de formation professionnelle. A son terme, dit-il, la formation dispensée sur une durée de 18 mois et qui exige le niveau de 4e année moyenne, sera sanctionnée par l’obtention d’un diplôme CMP (Certificat de maîtrise professionnelle), une première dans les métiers de la vente en Algérie. «La filière du commerce de détail en Algérie représente un gisement d’opportunités pour des jeunes en quête d’emplois et pour des commerces soucieux d’offrir des prestations de service à valeur ajoutée à leurs clients», a souligné Alain Roland qui a indiqué que le vendeur doit savoir que «le seul patron c’est le client».

    Ainsi, la partie suisse et la partie algérienne vont collaborer pour l’élaboration du profil professionnel de conseiller de vente, du référentiel, de compétences et du programme de formation, la formation des formateurs et de maîtres d’apprentissage, ainsi que sur les procédures de certifications conformément aux dispositions en vigueur pour les CMP. Par ailleurs, des établissements de formation privés, présents lors de cette journée, ne comprennent pas l’appel du ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels aux formateurs suisses. Ils dénoncent leur «exclusion» et estiment avoir les compétences nécessaires pour faire partie de ce projet.

  • De plus en plus de Français travaillent dans les pays limitrophes

    Conséquence logique de la construction européenne, les français sont chaque année plus nombreux à traverser quotidiennement les frontières de l’hexagone pour rejoindre leurs lieux de travail vers les pays limitrophes, principalement les pays francophones et germanophones. L'Insee vient de publier une étude sur les flux de navetteurs :

    "Habiter en France tout en travaillant dans un pays frontalier est de plus en plus fréquent. Les deux premières destinations sont la Suisse et le Luxembourg. En 2011, 353 000 résidents français déclarent être dans ce cas, soit une augmentation de 42 % par rapport à 1999. Cinq grandes agglomérations polarisent les mouvements. Chacune d’entre elles a un rôle particulier dans l’économie française et les caractéristiques de leurs navetteurs sont très différentes. L’agglomération de Genève reçoit 88 000 navetteurs, dont une part importante de cadres et de diplômés. La situation est très différente à Sarrebruck et en Belgique où prédominent ouvriers et actifs peu diplômés. À Luxembourg, les employés sont plus nombreux. Les différences salariales et la langue pratiquée dans le territoire de destination jouent aussi un rôle dans les caractéristiques de la main-d’œuvre.

    En 2011, 353 000 navetteurs transfrontaliers résident en France tout en travaillant dans un pays voisin ; c’est 50 000 de plus qu’en 2006 et 100 000 de plus qu’en 1999. Les grandes destinations restent les mêmes, et les tendances relevées lors de précédentes analyses se confirment (figure 1). La Suisse, avec près de 160 000 frontaliers, reste de loin le premier pays de destination. Les navettes vers le Luxembourg (deuxième destination) et vers la Belgique (quatrième) sont en forte hausse. Le nombre de navetteurs se rendant en Allemagne (troisième destination) continue de décroître tandis que les mouvements vers Monaco augmentent légèrement. Vers tous les autres pays de destination, les mouvements restent faibles.

    À l’inverse, on estime à 30 000 les flux des pays voisins vers la France. Près de la moitié proviennent de Belgique. Les flux provenant d’Allemagne se chiffreraient à environ 4 000. Avec la Suisse et le Luxembourg, les effectifs sont très réduits. Il n’y a qu’avec l’Italie que les flux entrants sont supérieurs aux flux sortants."

  • L'incroyable succès international du Salon du Chocolat

    Ce week-end se tient à Bruxelles la deuxième édition du Salon du Chocolat en Belgique. La renommée du Royaume en la matière n'est plus à faire, comme le démontre le nombre important de grandes enseignes Belges qui dominent le monde de la Chocolaterie de Luxe : Neuhaus, Galler, Cote d'Or,Marcolini... pour n'en nommer que quelques uns. Cette année correspond également au 100 ans de l'invention du ballotin de Praline à Bruxelles par Louise Neuhaus :

    img_beginning.jpg

    img_ballotin.jpg

    Pourtant, le Salon du Chocolat n'est pas une invention Belge. C'est en effet de France que nous vient l'idée d'organiser un salon international consacrée aux dérivées de cette plante fabuleuse qu'est le cacotier.

    Depuis plus de 20 ans le salon du chocolat se développe dans de nombreux pays et a déjà attiré plus de  3 millions de visiteurs sur 4 contients :

     

    Le salon du Chocolat, site Internet 

    UNE ÉDITION ANNIVERSAIRE EXCEPTIONNELLE

    COURONNÉE DE SUCCÈS

     

    Pour ses 20 ans, le Salon du Chocolat a accueilli 120 000 visiteurs en 5 jours, du 29 octobre au 2 novembre dernier : une affluence qui place définitivement le Salon du Chocolat comme « le plus grand événement mondial dédié au chocolat et au cacao ».

     

    Pour cette édition anniversaire, près de 500 participants étaient présents sur 20 000 m2 pour réjouir tous les sens des visiteurs : 220 exposants chocolatiers, pâtissiers et confiseurs nationaux et internationaux (France, Italie, Belgique, Japon, Suisse, Vietnam, Côte d’Ivoire, São Tomé & Principe, Allemagne, Algérie, Autriche, Brésil, Cameroun, Colombie, Corée du Sud, Equateur, Etats-Unis, Gabon, Ghana, Haïti, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Madagascar, Mexique, Nicaragua, Pérou, Portugal, Royaume-Uni) aux côtés des plus grands chefs et chefs pâtissiers qui se sont relayés pour offrir plus de 50 recettes chocolatées au public...

     

    Le site du promoteur de l'événement :

    Notre success-story

     

    Sur une idée de Sylvie DOUCE et François JEANTET, le Salon du Chocolat conçu, organisé et médiatisé depuis sa création en 1994 par Event International, s’impose aujourd’hui comme l’événement mondial le plus important autour du chocolat et du cacao.

    Le Salon du Chocolat, véritable étendard de la réussite française à l’international, revendique aujourd’hui 20 éditions sur 4 continents et est devenu au fil des ans le plus grand événement dédié au Chocolat dans le monde.

    Véritable Mondial du Chocolat et du Cacao, il n’en finit pas de se développer et connaît un engouement sans frontière. Il a fédéré jusqu’à aujourd’hui plus de 3.000.000 de visiteurs dans le monde.

    A travers le Salon du Chocolat, la France s’exporte à l’étranger, comme en Chine, dans l’un des rares secteurs où elle possède encore un leadership : le savoir-faire.

    Salué par les amateurs et les experts du marché, porte-parole d’une profession et favorisant le respect de certaines valeurs, le Mondial du Chocolat et du Cacao s’impose aujourd’hui comme un véritable label national et international.

    Plus qu’un simple événement, le Salon du Chocolat tisse un lien indéfectible entre les hommes qui cultivent le cacao et ceux qui consomment le chocolat, entre les pays producteurs et les consommateurs du produit fini.

    Il participe également à la promotion et à la transmission de la créativité et du savoir-faire français à l’étranger, et permet aux chocolatiers et pâtissiers nationaux d’exporter leur marque et de se faire connaître dans différents pays.