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francophonie

  • Le festival du film francophone présent partout sur internet

    Tout au long du mois de janvier le festival du film français mets le cinéma francophone à disposition du monde entier. On peut certes regretter que le nom du festival soit en anglais et que les autres langues ne soient pas autant mise à l'honneur, force est de constater que cette initiative de Unifrance, l'organisme français chargé de faire la promotion du cinéma français à l'international, a un impact positif pour la promotion des cultures et des alternatives au modèle anglo-saxon de part le monde.

    Le site du festival : http://www.myfrenchfilmfestival.com/

    myfrenchfilmfestival-com-2015.jpg

     

    MyFrenchFilmFestival.com est un concept inédit qui a pour but de mettre en lumière la jeune génération de cinéastes français et qui permet aux internautes du monde entier de partager leur amour du cinéma français. Pour sa cinquième édition, le festival revient avec de nouveaux films, de nouvelles plateformes partenaires et des lancements en salles dans plusieurs territoires

     

    Quand ?

    C’est du 16 janvier au 16 février 2015 que les cinéphiles du monde entier auront accès à tous les films que propose la 5ème édition du festival du cinéma français en ligne. En avant-première, tous les courts métrages seront visibles gratuitement le 21 décembre 2014 dans le cadre du Jour le Plus Court, la fête du court métrage.

     

    Le principe

    Dix longs métrages et dix courts métrages français sont en compétition. Les internautes sont invités à noter tous les films et à laisser leurs commentaires sur le site. La sélection compte deux films belges en compétition, et, hors compétition, un film de patrimoine et deux films francophones canadiens.

    Où voir les films ?

    En ligne : 
    Sur la plateforme myFrenchFilmFestival.com pour l'ensemble des pays. Le festival est également disponible sur près d’une trentaine d'autres plateformes partenaires, selon les territoires, dont iTunes dans 90 pays.

    En salles : 
    Des projections des films dans des salles près de chez vous auront lieu durant le festival. Les informations sur les lieux et les horaires seront régulièrement précisées sur le site.

    Dans les avions : 
    MyFrenchFilmFestival sera également présent dans les avions. Les films seront diffusés par plusieurs compagnies aériennes tout au long de l’année. Là encore, toutes les informations seront diffusées sur le site.

     

    Qui sommes-nous ?

    unifrance.orgDepuis 1949, uniFrance films fédère plus de 900 professionnels du cinéma français (producteurs, artistes exportateurs) qui s’associent pour promouvoir leurs films auprès des publics, des professionnels et des médias étrangers. L’action d’uniFrance films se structure autour de cinq axes :

    I. Organisation chaque année à Paris du plus grand marché de cinéma français : les « Rendez-vous with French Cinema » ; présence sur les principaux marchés internationaux (Cannes, Berlin, Toronto, Los Angeles, Hong Kong…) et soutiens aux distributeurs étrangers pour les sorties commerciales de films français.

    II. Sensibilisation des journalistes étrangers au cinéma français (avec l’organisation de press junkets régionaux avec les artistes français), sensibilisation des exploitants étrangers au cinéma français lors des congrès d’exploitants dans une dizaine de pays, mais aussi des acquéreurs de films sur les plateformes web et tv connectées.

    III. Organisation de festivals de films français dans 10 pays stratégiques (Etats-Unis, Allemagne, Italie, Royaume- Uni, Russie, Japon, Brésil, Chine…) et sur internet (MyFrenchFilmFestival.com) dans le monde entier ; soutien actif du cinéma français lors de 60 festivals internationaux (Cannes, Berlin, Locarno, San Sebastian, Pusan…)

    IV. Organisation de leçons de cinéma des réalisateurs français dans les écoles de cinéma et universités étrangères dans une dizaine de pays.

    V. Promotion et sous-titrage de courts métrages français dans les festivals, les marchés et sur internet.

     

     

     

     

     

     

  • Qui sera le prochain président de l'OIF ?

    Dossier à lire sur jeune Afrique, petits extraits :

    http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2801p020.xml1/

    Difficile de trouver la perle rare

    Le ministre français des Affaires étrangères s'est longtemps échiné à trouver la perle rare, avant, semble-t-il, de jeter l'éponge. "Il répète sans cesse que notre préférence va à l'Afrique, relate un proche. Mais il dit aussi aux Africains : "Donnez-moi un nom, un seul !"" Fabius a bien tenté de convaincre le Gabonais Jean Ping... En vain. L'ancien président de la Commission de l'UA a d'autres ambitions. À Paris, on a aussi pensé à Blaise Compaoré, mais le président burkinabè, dont le mandat expire dans un an, a poliment refusé.

    Un proche de Girardin admet que "ce serait plus facile si les Africains s'accordaient sur un candidat crédible". En attendant, la France constate que le charme de Michaëlle Jean opère. "Le président veut un secrétaire général du Sud, rappelle un proche de Hollande. Mais il ne soutiendra un candidat que lorsque l'Afrique se sera entendue. Pour l'heure, il observe."

    C'est le serpent qui se mord la queue. Car de leur côté, les Africains attendent que la France prenne position. Ils n'ont pas oublié qu'en 2002 tout le monde pensait à Henri Lopes pour succéder à Boutros Boutros-Ghali, lorsque Jacques Chirac, alors président, a imposé Diouf. Un souvenir douloureux qui pousse Lopes à ne pas faire campagne. "Sauf que Hollande n'est ni Chirac ni Sarkozy, souffle un proche du président français. Jamais il n'imposera son candidat."

    Que des promesses orales

    Le continent est cependant loin du consensus. Pour l'heure, hormis les pays de l'océan Indien favorables à L'Estrac, personne ne s'est officiellement prononcé. Le Mali et le Sénégal soutiendraient Jean, le Gabon serait derrière L'Estrac... "Ce ne sont que des promesses orales", selon un diplomate français. "Les chefs d'État sont conscients qu'il faut trouver un candidat commun, mais ils n'y parviennent pas", précise un ancien haut responsable de l'OIF. Peut-être en discuteront-ils à la fin du mois, lors de l'Assemblée générale des Nations unies, à New York. Sinon, "tout se décidera au dernier moment, dans le huis clos de Dakar", pronostique un cadre de l'organisation. C'est aussi le pari de Lopes.

    L'avis de Diouf, qui préférerait voir un Africain lui succéder, pourrait aussi compter. Comme d'habitude, le Sénégalais "est d'une prudence de Sioux", selon l'un de ses collaborateurs. Il ne dévoilera pas le nom de son favori, mais il a déjà fait connaître "sa préférence" aux leaders africains, aux Canadiens, ainsi qu'à Hollande et à Girardin. Son entourage penche pour Buyoya, mais admet que L'Estrac fait "un bon candidat de compromis" et reconnaît des qualités à Jean.

    Tout le monde a bien compris qu'il était chimérique d'espérer un clone de Diouf. Et que tant qu'à "passer à autre chose", selon l'expression d'un cadre de l'organisation, autant y aller franchement.



    Lire l'article sur Jeuneafrique.com : OIF | Francophonie : qui pour succéder à Abdou Diouf ? | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique 
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  • Ces festivals de films francophones

    Ils sont de plus nombreux, on les retrouve un peu partout en Europe et ailleurs et ils attirent un public de plus en plus nombreux : ce sont les festivals de films francophones. Taper ces quelques mots dans un moteur de recherche et vous verrez de nombreuses villes apparaître, dont Montréal, Namur, Bienne/Biel, Angoulême, Vienne ou Tübigen. 

    Les plus célèbres au mois de septembre sont certainement celui d'Helvetie dans la ville bilingue mais majoritairement germanophone de Bienne et celui de Namur en Belgique. 

    Dans les deux cas c'est l'occasion de découvrir de nouveaux talents et des coproductions issues des quatre coins du monde :

    http://www.fiff.be/

    http://www.fffh.ch/fr/