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  • Le français sur le point d'être une des langues officielles de la communeauté des états d'Afrique de l'Est

    Principalement anglophones, les états d'Afrique de l'Est accordent de plus en plus de place aux français dans leur marché commun afin de pouvoir augmenter les échanges avec leurs partenaires francophones en Afrique centrale et dans l'océan indien : 

    http://www.africanmanager.com/158807.html

    1-12-2013-18:05 : Le Burundi satisfait de l’introduction du français parmi les langues de travail de la CEA 
    Panapress

    Le président burundais, Pierre Nkurunziza, a exprimé sa satisfaction, dimanche, au lendemain du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la communauté est-africaine (CEA) de Kampala, en Ouganda, qui a adopté, entre autre point "important", selon lui, le français comme troisième langue de travail de ce regroupement sous-régional de libre échange.

    L’anglais et le swahili étaient jusque-là les seules langues de rigueur au sein de la communauté est-africaine dont la majorité des pays membres sont anglophones.

    Le français reste, par contre, la langue officielle la plus parlée des Burundais qui n’étaient pas, de ce fait, à l’aise pour communiquer avec les anglophones et "swahilophones" kenyans, ougandais, tanzaniens et rwandais dans des réunions et autres sommets officiels de la CEA.

    Le président Nkurunziza a déclaré qu’il a fallu des négociations au cours du sommet pour que le français soit accepté, en plus de l’anglais et du swahili, comme cette autre langue de travail.

    Le chef de l’Etat burundais a également rendu compte, avec la même satisfaction, de la signature avec ses pairs de la CEA d’un protocole portant union monétaire et dont l’entrée en vigueur interviendra à l’horizon 2024, avec la mise en circulation d’une monnaie unique et commune à l’échelle des cinq pays membres.

    La présidence tournante de la communauté, pour l’exercice 2014, a été confiée au chef de l’Etat du Kenya, Uhuru Kenyatta, pour prendre la relève de son homologue ougandais, Yoweri Kaguta Museveni.

  • Le traité de Paris en1763

    Par ce traité qui a mis fin à la guerre  de 7 ans en 1763 les territoires occupés par la France, à savoir le Canada, l'ouest des Etats-Unis, la Louisiane et à l'autre bout du monde l'Inde. Si les closes du traité avaient été différentes, il est probable que l'on parlerait aujourd'hui Français dans l'ensemble du nord ouest de l'Amérique du Nord et l'Inde utiliserait probablement cette langue comme Lingua Franca. L'histoire en a jugé autrement.

    Le document originel du traité de Paris et les procès verbaux des négociations qui l'ont précédé sont actuellement exposé à Québec :

    http://www.lequebecexpress.com/Culture/2014-09-22/article-3878067/Traite-de-Paris-de-1763%3A-piece-maitresse-de-levenement-Rares-et-precieux/1

    Le traité de Paris de 1763 est venu mettre un terme à la guerre de Sept Ans (1756-1763), qui opposait la Grande-Bretagne, la France et l'Espagne. Il est à l'origine d'importants changements en Amérique avec, entre autres, la cession de la Nouvelle-France à l'Angleterre.

    C'est la première fois que l'original du célèbre document historique est présenté en Amérique du Nord. Il s'agit d'un prêt exceptionnel consenti par le gouvernement de la République française au gouvernement du Québec, a souligné Isabelle Richefort, adjointe au directeur des Archives du ministère français des Affaires étrangères. Huit autres documents afférents, dont une carte des Amériques de 1777, ont voyagé avec le traité jusqu'à Québec, dans des conditions de conservation et de sécurité optimales.

    «C'est une chance unique pour les Québécois de pouvoir admirer ce document qui n'a jamais été exposé en France en dehors du Palais du ministère des Affaires étrangères [...]. Il fait partie de la collection des originaux des traités et accords de la France, considéré comme l'élément le plus précieux et le plus emblématique des fonds et collections des archives du ministère des Affaires étrangères», a déclaré Mme Richefort.

    «C'est une chance unique pour les Québécois de pouvoir admirer ce document qui n'a jamais été exposé en France en dehors du Palais du ministère des Affaires étrangères.»Isabelle Richefort

    L'exposition comptera également des archives tirées des collections des Musées de la civilisation, en lien avec le traité de 1763. S'ajouteront d'autres activités complémentaires dans le cadre de l'événement Rares et précieux, dont des exposés animés et des conférences au Musée de l'Amérique francophone.

     

  • Francophonie sur RFI (Radio France International)

    Depuis de nombreuses années les radio francophones œuvrent en commun pour défendre une vision du monde pluraliste et indépendante de la vision du monde anglo-saxone. La plupart des pays cherchent à défendre une version internationale de leur radio : RTBF, radio-canada, TSR. Leurs émissions sont disponibles en balado-diffusion via les intélitels (téléphones intelligents). 

    RFI, la radio de l'Afrique et d'ailleurs, tient tout particulièrement à défendre la Francophonie :

    http://www.rfi.fr/contenu/francophonie/

    RFI a une mission d'importance qui est à la fois d'informer en français et de défendre la langue française, Pour ce faire, elle a décidé de rendre compte de son action mais aussi de celles d'autres opérateurs ou institutions de la francophonie. 

    Avec le journal « Francophonie », les contributions, d'où qu'elles viennent, informent, expliquent, témoignent et rendent compte, avec de courts textes, des initiatives publiques ou privées pour propager le français, défendre la diversité culturelle et les valeurs qui s'y rattachent. Avec quatre parutions par an, la planète francophone est regardée à la loupe pour dire combien les efforts conjugués des uns et des autres contribuent à pérenniser cette langue et son histoire et à préserver sa place dans les sphères internationales.