UA-72575656-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le monde en marche - Page 55

  • La Tanzanie fer de la lance de la Francophonie

    La langue nationale de la Tanzanie est le Swahili. Je vous conseil de regarder le site de l'université de Laval pour en apprendre plus sur les différentes langues parlées dans le monde : http://www.axl.cefan.ulaval.ca/

    Ces dernières années la Tanzanie a utilisé de nombreux programmes pour remplir les objectifs du développement de l'ONU et a mené des campagnes massives pour assurer la scolarisation de tous les enfants du pays. Alors que seul 50% des enfants Tanzaniens allaient à l'école en 2000, ils sont plus de 98% à être scolarisé en 2014.

    Parmi les réformes misent en place en Tanzanie, l'une d'entre elle est l'apprentissage des langues de la région pour tous, à savoir le Swahili, l'anglais et le français.

    Quelques extraits du plan nationale tanzanien pour instruire un nombre élevé de professeurs de français qui pourront à leur tour instruire les enfants du pays dans les écoles primaires et secondaires :

    http://www.moe.go.tz/index.php?option=com_docman&task=doc_view&gid=91&Itemid=618

    Ce programme est destiné à préparer les formateurs pour enseigner la langue française 

    dans des écoles secondaires tanzaniennes. La formation aura lieu dans une école 

    normale supérieure dont les normaliens formateurs auront un diplôme à la fin du 

    cours et à la réussite d’examen correcte. En plus les normaliens auront l’habileté de v

    communiquer avec des Francophones vivant dans le pays et ils pourront aussi utiliser 

    cet habileté comme moyen de trouver un emploi. 

    L’importance 

    L’importance de ce programme se trouve dans son rôle de fournir des indications pour 

    la formation de professeurs de Français compétents pour bien enseigner le Français 

    dans des écoles secondaires. Ce sont des professeurs formés qui assureront 

    l’apprentissage de Français en Tanzanie, une langue qui est très importante au niveau 

    national, régional et international pour: 

    a) Le développement de compétences linguistiques et professionnelles de

    normaliens afin de trouver un emploi. 

    b) Communiquer en français avec les francophones dans le pays pour 

    améliorer la vie socio-culturelle. 

    c) Le développement de rélations internationales et la promotion des 

    compétences intellectuelles et des pratiques pour l’amélioration de la 

    condition de l’homme et de la société tanzanienne. 

    Les buts 

    Les buts de l’enseignement utilisant ce programme sont de rendre capable des 

    normaliens de : 

    a) Acquérir de bases solides en Français afin de poursuivre leurs apprentissages 

    de la langue française à un niveau avancé. 

    b) Utiliser des compétences en Français comme un moyen de prendre place sur le 

    marché international et en communication pour la mondialisation. 

    c) Promouvoir l’acquisition les capabilities d’inculquer la reconnaissance de la 

    culture, coutumes et des traditions tanzaniennes. 

    d) Acquérir des compétences professionnelles de l’enseignement de Français 

    dans des écoles secondaires. 

    e) Être ensibilisé sur les sujets globaux, les droits de l’homme, les droits de 

    l’enfant et la mondialisation. 

    f) Être sensibilisé sur la promotion des droits de l’homme, les droits des enfants 

    et le droit des enfants avec les besoins particuliers. 

  • Le français sur le point d'être une des langues officielles de la communeauté des états d'Afrique de l'Est

    Principalement anglophones, les états d'Afrique de l'Est accordent de plus en plus de place aux français dans leur marché commun afin de pouvoir augmenter les échanges avec leurs partenaires francophones en Afrique centrale et dans l'océan indien : 

    http://www.africanmanager.com/158807.html

    1-12-2013-18:05 : Le Burundi satisfait de l’introduction du français parmi les langues de travail de la CEA 
    Panapress

    Le président burundais, Pierre Nkurunziza, a exprimé sa satisfaction, dimanche, au lendemain du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la communauté est-africaine (CEA) de Kampala, en Ouganda, qui a adopté, entre autre point "important", selon lui, le français comme troisième langue de travail de ce regroupement sous-régional de libre échange.

    L’anglais et le swahili étaient jusque-là les seules langues de rigueur au sein de la communauté est-africaine dont la majorité des pays membres sont anglophones.

    Le français reste, par contre, la langue officielle la plus parlée des Burundais qui n’étaient pas, de ce fait, à l’aise pour communiquer avec les anglophones et "swahilophones" kenyans, ougandais, tanzaniens et rwandais dans des réunions et autres sommets officiels de la CEA.

    Le président Nkurunziza a déclaré qu’il a fallu des négociations au cours du sommet pour que le français soit accepté, en plus de l’anglais et du swahili, comme cette autre langue de travail.

    Le chef de l’Etat burundais a également rendu compte, avec la même satisfaction, de la signature avec ses pairs de la CEA d’un protocole portant union monétaire et dont l’entrée en vigueur interviendra à l’horizon 2024, avec la mise en circulation d’une monnaie unique et commune à l’échelle des cinq pays membres.

    La présidence tournante de la communauté, pour l’exercice 2014, a été confiée au chef de l’Etat du Kenya, Uhuru Kenyatta, pour prendre la relève de son homologue ougandais, Yoweri Kaguta Museveni.

  • Le traité de Paris en1763

    Par ce traité qui a mis fin à la guerre  de 7 ans en 1763 les territoires occupés par la France, à savoir le Canada, l'ouest des Etats-Unis, la Louisiane et à l'autre bout du monde l'Inde. Si les closes du traité avaient été différentes, il est probable que l'on parlerait aujourd'hui Français dans l'ensemble du nord ouest de l'Amérique du Nord et l'Inde utiliserait probablement cette langue comme Lingua Franca. L'histoire en a jugé autrement.

    Le document originel du traité de Paris et les procès verbaux des négociations qui l'ont précédé sont actuellement exposé à Québec :

    http://www.lequebecexpress.com/Culture/2014-09-22/article-3878067/Traite-de-Paris-de-1763%3A-piece-maitresse-de-levenement-Rares-et-precieux/1

    Le traité de Paris de 1763 est venu mettre un terme à la guerre de Sept Ans (1756-1763), qui opposait la Grande-Bretagne, la France et l'Espagne. Il est à l'origine d'importants changements en Amérique avec, entre autres, la cession de la Nouvelle-France à l'Angleterre.

    C'est la première fois que l'original du célèbre document historique est présenté en Amérique du Nord. Il s'agit d'un prêt exceptionnel consenti par le gouvernement de la République française au gouvernement du Québec, a souligné Isabelle Richefort, adjointe au directeur des Archives du ministère français des Affaires étrangères. Huit autres documents afférents, dont une carte des Amériques de 1777, ont voyagé avec le traité jusqu'à Québec, dans des conditions de conservation et de sécurité optimales.

    «C'est une chance unique pour les Québécois de pouvoir admirer ce document qui n'a jamais été exposé en France en dehors du Palais du ministère des Affaires étrangères [...]. Il fait partie de la collection des originaux des traités et accords de la France, considéré comme l'élément le plus précieux et le plus emblématique des fonds et collections des archives du ministère des Affaires étrangères», a déclaré Mme Richefort.

    «C'est une chance unique pour les Québécois de pouvoir admirer ce document qui n'a jamais été exposé en France en dehors du Palais du ministère des Affaires étrangères.»Isabelle Richefort

    L'exposition comptera également des archives tirées des collections des Musées de la civilisation, en lien avec le traité de 1763. S'ajouteront d'autres activités complémentaires dans le cadre de l'événement Rares et précieux, dont des exposés animés et des conférences au Musée de l'Amérique francophone.