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  • Concours Aperau : Le challenge inter-universitaire des facultés d'urbanisme 2015 vient d'avoir lieu à Bruxelles

    http://www.aperau.org/challenge-etudiant.html

    Chaque année les étudiants des institutitions membres de l'APERAU sont invités à participer à un concours d'émulation, le Challenge interuniversitaire. Ce concours est présentement organisé dans deux des trois sections régionales de l'APERAU. Le Challenge interuniversitaire pour la section France-Europe se tient depuis 1990 tandis que celui de l'Afrique-Maghreb-Orient a été lancé plus recémment, en 2010. Le Challenge APERAU Amériques est à venir.

    Dans le cadre du Challenge, des équipes de 4 étudiants -- chacune représentant un membre de l'APERAU -- sont amenées à se pencher sur une problématique d'urbanisme concrète qui est divulguée aux participants le premier jour de la semaine du Challenge. Les rencontres avec les élus, les administrateurs locaux et d'autres acteurs impliqués sur le territoire accompagnent le travail d'analyse mené par les équipes. Les projets étudiants sont ensuite présentés devant un jury composé généralement d’universitaires, professionnels de l’urbanisme et d’élus. L’institut dont l'équipe remporte le premier prix organise l’édition suivante du Challenge en partenariat avec les acteurs publics locaux et la section régionale de l'APERAU.

    Cette année l'organisateur était l'Institut Supérieur d'Urbanisme et de Rénovation Urbaine (ISURU) de Bruxelles

    http://www.isuru.be/actu/challenge-aperau/

    Notre institut a remporté en 2014 le challenge inter-universitaire de l’APERAU (Association pour la promotion de l’enseignement et de la recherche en aménagement et urbanisme) organisé à Créteil par l’Institut d’Urbanisme de Paris et il nous revient d’organiser le challenge à Bruxelles cette année.

    Nous nous réjouissons d’accueillir les 8 équipes qui ont relevé le challenge et de pouvoir nous mesurer à elles dans l’esprit d’émulation qui caractérise cette épreuve.

    Bienvenue aux étudiants de IATEUR – Reims ; IAUL – Lille ; IGARUN – Nantes ; IUAPS – Paris IV Sorbonne ; IUG – Grenoble ; IUP – Marne-la-Vallée ; Polytech – Tours et UNIL – Lausann

  • La ministre Belge de l'éducation s'engage pleinement pour la Francophonie

    Alors que les tensions en Belgique sont de plus en plus forte entre l'extrême-droite Flamande (la NVA) et les partis centristes, la ministre de l'éducation défend clairement la Francophonie comme vecteur de croissance et de prospérité économique et culturel. Cela alors que des ministres du parti nationaliste néerlandophone cherchent à quitter l'organisation.

    l'interview de la ministre est disponible dans le journal Le Soir : http://www.lesoir.be/842362/article/actualite/belgique/2015-04-03/joelle-milquet-inspiree-par-quebec-tous-enseignants-doivent-etre-formes-l-univer

     

    « Plus que jamais, défendre la francophonie »

    Le voyage de Joëlle Milquet a fait la part belle au secteur culturel, autre compétence de l’élue CDH. La ministre en a profité pour signer une déclaration de collaboration commune avec Hélène David, ministre québécoise de la Culture.

    Quelle collaboration ? Quelques pistes concrètes se dessinent. Joëlle Milquet rêve de la mise en place d’un festival du numérique, auquel le Québec, très à la pointe dans ce domaine, pourrait être invité. La Belgique francophone sera en tout cas l’invité d’honneur de la prochaine foire du livre québécoise. Un plan d’action commun sera prochainement élaboré sur la production de contenu culturel numérique et l’usage des nouvelles technologies dans les différentes disciplines artistiques. « Nous devons collaborer davantage dans le cinéma (miser sur les coproductions), dans l’édition et la coédition ainsi que dans les arts de la scène, estime la ministre de la Communauté française. Il faut une stratégie francophone collective. »

    L’identité culturelle forte du Québec a beaucoup marqué Joëlle Milquet : « Leur identité est beaucoup plus dynamique et cohérente que chez nous. On observe une réelle volonté d’exportation. En tant que Belges francophones, nous devons réhabiliter cette identité-là, qui s’est un peu perdue au fur et à mesure de l’évolution institutionnelle et de l’émancipation des villes et des régions. Nous devons valoriser un label culturel de culture francophone. Le Québec mise là-dessus pour doper sa culture et son économie. Or nous avons autant de talents et de potentiel que lui ! »

    Par ce discours, la ministre de la Culture s’inscrit à contre-courant des propos tenus cette semaine par le ministre-président flamand Geert Bourgeois (N-VA). Ce dernier a estimé que la Belgique devrait quitter l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Il s’est aussi offusqué que la Communauté française y soit inscrite sous l’appellation Fédération Wallonie-Bruxelles, une appellation non reconnue par la Constitution… La réponse de Joëlle Milquet est cinglante : « Sortir de l’OIF ? Cela n’arrivera jamais ! » Et d’ajouter : « Plus que jamais, on doit investir, réinvestir, surinvestir dans la francophonie. C’est ce que j’ai dit aux Québécois et je le dirai bientôt à la ministre de la Culture Fleur Pellerin en France. »

    Aux yeux de la ministre, le label francophone est une réponse à la suprématie du monde anglo-saxon et la tendance à la marchandisation de la culture. « Cela permet aussi de créer une communauté de valeurs, avec la France, le Québec, la Belgique mais aussi l’Afrique. Plus que jamais, on doit défendre la francophonie. »

     

  • Des retraités français qui parcours le monde

    Si les étudiants sont de plus en plus nombreux à parcourir le monde pour les études ou en PVT (programme vacances travail), les retraités également n'hésitent plus à partir à l'aventure et à quitter leur résidence. Une étude de l'Insee montre que plus d'un million de retraité français et résident en France ont quitté l'héxagone. Nul doute qu'ils ont été remplacé par d'autres pensionnés venus passer leurs vieux jours en France, notamment des Anglais, Belge et Hollandais. 

     

    http://www.dna.fr//societe/2015/03/31/ces-seniors-expatries

    PLUS D’UN MILLION de retraités percevant une pension française passent leurs vieux jours à l’étranger, pour la moitié en Europe, et pour 44 % en Afrique.

    Au 31 décembre 2013, 1,27 million de retraités du régime général percevant une retraite personnelle, une pension de réversion ou les deux à la fois, résidaient à l’étranger dans 180 pays. Cela représente 9,4 % des 13,5 millions de retraités à cette date, toutes nationalités confondues, selon des chiffres de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav).

    D’autres données des Affaires étrangères font état de 225 000 retraités français expatriés en 2013, tous régimes de sécurité sociale confondus. Leur nombre a augmenté encore pour dépasser les 251 223 en 2014, soit 14 % des expatriés français.

    Binationaux d’abord

    L’Algérie reste le premier pays d’accueil avec près de 440 000 retraités, essentiellement binationaux ou Français d’origine algérienne. Suivent l’Espagne (191 159) ou binationaux et Français sont aussi nombreux, le Portugal (près de 178 000) et l’Italie (91 306) qui constituent le trio de tête des pays de l’Union européenne les plus plébiscités par les retraités du régime général.

    Dans les 15 principaux pays de résidence figurent aussi le Maroc et la Tunisie, la Suisse, la Turquie, mais aussi les États-Unis (près de 15 000), la Serbie (11 600, 88 % de binationaux) ou encore Israël (6 700).

    Des destinations éloignées comme l’Asie (Thaïlande, Vietnam, Cambodge) attirent également de plus en plus de retraités tentés par un coût de la vie inférieur à la France et des conditions climatiques favorables.

    La région Ile-de-France arrive en tête des régions françaises qui exportent des pensions de vieillesse.

    221 euros par mois

    Plusieurs profils se dégagent : les retraités qui regagnent leur pays d’origine, ceux qui recherchent un cadre de vie agréable ou encore ceux qui compensent la perte de leur pouvoir d’achat. Il peut aussi s’agir de jeunes seniors toujours actifs, qui souhaitent donner un nouveau souffle à leur carrière professionnelle, expliquent les organisateurs (dont la Cnav) du salon de l’expatriation qui vient de se tenir à Paris.

    Globalement, ces retraités résidant à l’étranger sont légèrement plus âgés que ceux restant en France, 75 ans en moyenne contre 73 dans l’Hexagone. La Cnav explique cette différence notamment par un âge de départ en retraite plus élevé (63 ans) que ceux domiciliés en France (62 ans).

    Ces retraités à l’étranger touchent en moyenne une retraite de base de 221 euros par mois, contre 621 euros pour ceux restés en France. Ce faible montant s’explique par la seule prise en compte de la carrière réalisée en France et au régime général, souligne la Cnav. Ces assurés peuvent éventuellement bénéficier d’une pension d’un autre régime notamment pour une carrière relevant d’un régime étranger.

     

    Il faut ajouter la part des retraites complémentaires (en moyenne un tiers de la retraite globale d’un salarié, près de deux tiers pour les cadres).

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