UA-72575656-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

francophonie - Page 27

  • Alliance Franco-Allemande à Europa-Park

    Europa-Park attire toujours plus de francophones, comme nous l'avions vu dans un billet précédant. 

    Cette semaine encore les relations franco-Allemande étaient à l'honneur à Rust avec l'inauguration officielle de l'attraction Arthur au Royaume des Minimoys :

    http://www.dna.fr/loisirs/2014/09/19/arthur-en-sa-maison

    Europa-park Luc Besson inaugure l’attraction inspirée de ses films Arthur en sa « maison »

    Luc Besson (au premier plan à droite) hier avec la famille Mack dans la nouvelle attraction inspirée d’« Arthur et les Minimoys ».  Photo DNA – Franck Delhomme

    Luc Besson (au premier plan à droite) hier avec la famille Mack dans la nouvelle attraction inspirée d’« Arthur et les Minimoys".

    Le cinéaste français Luc Besson et la famille Mack, propriétaire d’Europa- Park à Rust, ont inauguré en grande pompe hier après-midi « Arthur – Au Royaume des Minimoys », qui occupe un coin du parc d’attraction allemand sur plus de 10 000 m².

    Inspirée de la trilogie du réalisateur français, l’attraction a ouvert en juillet et connaît depuis le succès (DNA du 24 août). « C’était un projet complexe, si ce n’est le plus complexe de l’histoire des parcs d’attraction », ose Michael Mack, qui après avoir vu le film était allé à la rencontre de Luc Besson afin de lui proposer une collaboration visant à créer une nouvelle attraction.

    Créé en interne, ce manège d’un nouveau type permet notamment de parcourir 550 mètres dans l’univers des Minimoys en virevoltant, les pieds dans le vide et les rails au-dessus de la tête. Cette « nouveauté technique suscite déjà des intérêts à l’exportation », précise Michael Mack en annonçant « une mise en place à Dubaï en 2015-2016 ».

    Luc Besson a loué hier l’enthousiasme de Michael Mack et de son père Roland, « le Walt Disney du Rhin », dans la collaboration avec l’équipe des trois films, notamment Hugues Tissandier, à l’origine des décors. Le cinéaste s’est ainsi réjoui de voir l’univers de son personnage Arthur sortir de l’écran. « Ici, c’est sa seule maison, l’autre est virtuelle. »

     

  • Ontario : un théâtre francophone gagne le prix des arts de la première ministre

    L'excellence de la création artistique dans l'Ontario français a été mis en avant par la Première Ministre Kathleen Wynn qui a honoré le théâtre du Nouvel Ontario de la ville majoritairement francophone de Sudbury par le prix des arts de 2014.

    http://ici.radio-canada.ca/regions/ontario/2014/09/17/004-theatre-nouvel-ontario-sudbury-prix-premiere-ministre.shtml

    Le Théâtre du Nouvel-Ontario de Sudbury est devenu le premier organisme francophone à remporter Prix de la première ministre pour l'excellence artistique.

    Le Prix a été créé en 2006 par la province pour rendre hommage aux réalisations exceptionnelles d'artistes et d'organismes artistiques et souligner leurs contributions aux arts et à la culture en Ontario.

    C'est la troisième fois que le groupe était en nomination, raconte sa directrice artistique, Geneviève Pineault.

    « Ce prix-là vient reconnaître les 43 ans de la compagnie, tout son travail. »— Geneviève Pineault, directrice artistique du TNO

    Les gagnants reçoivent par ailleurs une bourse de 50 000 $.

    Le conseil d'administration et la direction du TNO décideront prochainement comment l'argent sera investi dans des projets artistiques.

    http://news.ontario.ca/mtc/fr/2014/09/huitieme-prix-du-premier-ministre-pour-lexcellence-artistique.html

    Huitième Prix du premier ministre pour l'excellence artistique

    L'Ontario rend hommage aux artistes et aux organismes artistiques exceptionnels.

    Le gouvernement de l'Ontario a récompensé les lauréats du Prix du premier ministre pour l'excellence artistique de 2014, lors d'un gala qui s'est tenu au Roy Thomson Hall ce soir.

    Le programme du Prix annuel rend hommage aux réalisations exceptionnelles des artistes et des organismes artistiques de l'Ontario.

    Lee Maracle, auteure, poète, scénariste et conteuse acclamée par la critique, a remporté le prix de la catégorie Artiste. Lee Maracle est actuellement enseignante traditionnelle à la First Nations House de l'Université de Toronto et instructrice au Centre for Indigenous Theatre.

    Le Théâtre du Nouvel-Ontario (TNO) s'est vu décerner le prix de la catégorie Organisme artistique. Le TNO est une troupe de théâtre professionnelle qui soutient des auteurs et des dramaturges de l'Ontario et du reste du Canada, en se concentrant sur des œuvres contemporaines. Il contribue au développement d'œuvres remarquables du théâtre contemporain depuis plus de 40 ans.

    Le prix de la catégorie des artistes émergents de l'année a été attribué à Cherie Dimaline, auteure de deux œuvres littéraires de fiction. Elle est également rédactrice en chef et contribue au développement de projets dans les communautés autochtones du Canada.

    Ce programme de remise de prix reflète l'engagement du gouvernement qui soutient les artistes et organismes artistiques et récompense leur influence considérable sur notre qualité de vie et notre économie.

     

    En récompensant les artistes et les organismes voués aux arts de l'Ontario, le gouvernement investit dans ses citoyens et souligne leur influence considérable sur notre qualité de vie, notre culture et notre économie.

  • Diversité du cinéma en Francophonie

    L'organisation internationale de la Francophonie a mis en place un appel à projet pour aider à développer le cinéma dans les pays du sud. 16 projets ont ainsi été retenus :

    http://www.francophonie.org/Cinema-16-projets-de-films.html

    http://www.francophonie.org/Production-audiovisuelle.html

    Un dispositif d’accompagnement multiforme qui va des bourses d’aide à l’écriture pour les auteurs et scénaristes jusqu’à la promotion et la mise en marché des films, favorise la création et la diffusion d’œuvres de qualité. Il vient compléter les interventions du Fonds francophone de production audiovisuelle du Sud qui constitue, depuis près de trente ans, l’une des principales sources de financement des créations cinématographiques et télévisuelles, notamment africaines.

    Principale source de financement des créations cinématographiques et télévisuelles des pays francophones du Sud, le Fonds francophone de production audiovisuelle du Sud, créé en 1988, a contribué à la production de 1 400 œuvres de cinéma et de télévision représentant plus de 1 600 heures de programmation originale. Les subventions couvrent l’aide à la production, au développement (réécriture, repérages, faisabilité), à la finition (postproduction, doublage, sous-titrage) et à la diffusion de films de fiction et de documentaires. Les dossiers, présentés par des sociétés de production, privées ou publiques, sont sélectionnés par une commission composée de professionnels de la télévision et du cinéma. Pour 2010-2013, le Fonds a évolué vers une logique d’accompagnement visant la recherche de la qualité et de la viabilité économique des productions soutenues. Le soutien aux créations en langues locales et l’exigence du sous-titrage en langue française permettent de toucher les publics les plus larges possibles, à commencer par les publics nationaux.

     

    Lors de sa session de juin 2014, consacrée à des aides à la finition, la commission cinéma du Fonds francophone de production audiovisuelle du Sud a sélectionné 16 projets de films. Le montant total attribué s’élève à 180 000 euros.

    FICTIONS

    • Battements d’aile dans les airs, long-métrage fiction, 105’ de Hoang Diep Nguyen (Vietnam). Un premier film d’auteur qui traite avec beaucoup de sensualité, de la condition de la jeune femme enceinte, seule face à son destin.
    • Braquage à l’africaine, long-métrage fiction (90’), d’Owell Brown (Côte d’Ivoire). Pour rembourser une dette de jeux, un homme se retrouve dans un imbroglio entre la police et une autre équipe de braqueurs.
    • Meurtre à Pacot, long-métrage fiction (90’), de Raoul Peck (Haïti). A travers cette œuvre le réalisateur se propose de sonder l’abîme des âmes à l’intérieur d’un territoire émotionnellement meurtri.
    • Pères, fils et autres histoires, long-métrage fiction (90’), de Phan Dang Di (Vietnam). Un récit tendre et mélancolique dans le Saigon des années 90.
    • Rapt à Bamako, long-métrage fiction (90’), de Cheick Oumar Sissoko (Mali). Un film d’action qui nous introduit aux difficiles tentatives d’exercice de la démocratie en Afrique.
    • The sea is behind, long-métrage fiction (86’) de Hicham Lasri (Maroc). Tarik danse lors de cérémonies de fiançailles et de mariage déguisé en femme et la société mcomment le reçoit-elle ?
    • Un soir de pleine lune, long-métrage fiction ( 90’), de Farès Naanaa (Tunisie). Un couple de Tunisiens face au deuil de leur enfant.
    • La lune est tombée, long-métrage fiction ( 90’), de Gahité Fofana (Guinée). Trois amis d’enfance relancent ensemble une usine d’eau minérale en Guinée.

    DOCUMENTAIRES

    • Le dernier voyage de Mme Phung, long-métrage documentaire (85’),de Nguyen Thi Tham (Vietnam). Phung a été élève dans un monastère boudhiste jusqu’au jour où il découvre son attirance pour les jeunes hommes. Il décide alors de devenir une femme pour éveiller leurs désirs.
    • Césaire l’Africain, documentaire (52’), d’Evrard Niyomwungere (Burundi). Ce film propose une découverte de l’Africanité d’Aimé Césaire, dans son œuvre et dans ses combats.
    • Les fiancés d’Imilchil, documentaire (52’), de Léandre-Alain Baker (République du Congo). La découverte de la légende d’Imilchil qui a donné naissance à un festival et à la pratique des mariages collectifs qui en découle.
    • Ahmed Attia, documentaire (52’), de Khaled W. Barsaoui (Tunisie). Le portrait d’Ahmed Attia, une personnalité marquante du cinéma tunisien.
    • La voie normale, long-métrage documentaire (70’), d’Erige Sehiri (Tunisie). Dans ce road-movie mêlant rock et son jazzy, Ahmed, 31 ans et conducteur de train, nous raconte son voyage entre les saisons et son désir de devenir quelqu’un d’autre.
    • Sembene, long-métrage documentaire (87’), de Samba Gadjigo (Sénégal). Histoire d’un cinéaste, écrivain qui a profondément influencé et inspiré des générations d’Africains.
    • Tee shirt man, long-métrage documentaire (70’), de Tovoniaina Rasoanaivo (Madagascar). Un jeune home cherche à obtenir le T-shirt offert par chacun des 33 candidats à la magistrature suprême.
    • Le tremplin, documentaire (52’), de Joseph Ndayisenga (Burundi). Le portrait d’une équipe d’enfants de la rue sélectionnés en vue de participer à la coupe du monde de football d’enfants démunis au Brésil.