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Le monde en marche - Page 32

  • L'incroyable succès international du Salon du Chocolat

    Ce week-end se tient à Bruxelles la deuxième édition du Salon du Chocolat en Belgique. La renommée du Royaume en la matière n'est plus à faire, comme le démontre le nombre important de grandes enseignes Belges qui dominent le monde de la Chocolaterie de Luxe : Neuhaus, Galler, Cote d'Or,Marcolini... pour n'en nommer que quelques uns. Cette année correspond également au 100 ans de l'invention du ballotin de Praline à Bruxelles par Louise Neuhaus :

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    Pourtant, le Salon du Chocolat n'est pas une invention Belge. C'est en effet de France que nous vient l'idée d'organiser un salon international consacrée aux dérivées de cette plante fabuleuse qu'est le cacotier.

    Depuis plus de 20 ans le salon du chocolat se développe dans de nombreux pays et a déjà attiré plus de  3 millions de visiteurs sur 4 contients :

     

    Le salon du Chocolat, site Internet 

    UNE ÉDITION ANNIVERSAIRE EXCEPTIONNELLE

    COURONNÉE DE SUCCÈS

     

    Pour ses 20 ans, le Salon du Chocolat a accueilli 120 000 visiteurs en 5 jours, du 29 octobre au 2 novembre dernier : une affluence qui place définitivement le Salon du Chocolat comme « le plus grand événement mondial dédié au chocolat et au cacao ».

     

    Pour cette édition anniversaire, près de 500 participants étaient présents sur 20 000 m2 pour réjouir tous les sens des visiteurs : 220 exposants chocolatiers, pâtissiers et confiseurs nationaux et internationaux (France, Italie, Belgique, Japon, Suisse, Vietnam, Côte d’Ivoire, São Tomé & Principe, Allemagne, Algérie, Autriche, Brésil, Cameroun, Colombie, Corée du Sud, Equateur, Etats-Unis, Gabon, Ghana, Haïti, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Madagascar, Mexique, Nicaragua, Pérou, Portugal, Royaume-Uni) aux côtés des plus grands chefs et chefs pâtissiers qui se sont relayés pour offrir plus de 50 recettes chocolatées au public...

     

    Le site du promoteur de l'événement :

    Notre success-story

     

    Sur une idée de Sylvie DOUCE et François JEANTET, le Salon du Chocolat conçu, organisé et médiatisé depuis sa création en 1994 par Event International, s’impose aujourd’hui comme l’événement mondial le plus important autour du chocolat et du cacao.

    Le Salon du Chocolat, véritable étendard de la réussite française à l’international, revendique aujourd’hui 20 éditions sur 4 continents et est devenu au fil des ans le plus grand événement dédié au Chocolat dans le monde.

    Véritable Mondial du Chocolat et du Cacao, il n’en finit pas de se développer et connaît un engouement sans frontière. Il a fédéré jusqu’à aujourd’hui plus de 3.000.000 de visiteurs dans le monde.

    A travers le Salon du Chocolat, la France s’exporte à l’étranger, comme en Chine, dans l’un des rares secteurs où elle possède encore un leadership : le savoir-faire.

    Salué par les amateurs et les experts du marché, porte-parole d’une profession et favorisant le respect de certaines valeurs, le Mondial du Chocolat et du Cacao s’impose aujourd’hui comme un véritable label national et international.

    Plus qu’un simple événement, le Salon du Chocolat tisse un lien indéfectible entre les hommes qui cultivent le cacao et ceux qui consomment le chocolat, entre les pays producteurs et les consommateurs du produit fini.

    Il participe également à la promotion et à la transmission de la créativité et du savoir-faire français à l’étranger, et permet aux chocolatiers et pâtissiers nationaux d’exporter leur marque et de se faire connaître dans différents pays.

  • Des libraires qui parcours le Saskatchewan

    Depuis plusieurs siècles il existe des communautés francophones dans les provinces de l'ouest Canadien. Aux premiers Métis issus des rencontres entre les peuples autochtones et les coureurs de bois Français se sont ajoutés des immigrants Canadiens Français et Acadiens, puis au XIXe siècles des européens Belges, Suisses et Français. Plus récemment se sont des immigrants caribéens, Maghrébins et Africains qui sont venir rejoindre les communautés francophones. 

    Le journal de la Saskatchewan, l'eau vive, présente un couple de libraire qui depuis plus de vingt ans partagent leur amour de la littérature francophone avec les habitants de la province :

    http://www.leau-vive.ca/Actualit%C3%A9/%C3%89conomie/%C3%89conomie-actualit%C3%A9/TabId/207/ArtMID/774/ArticleID/342375/Bouquinerie-Gravel-Sur-la-route-depuis-plus-de-20-ans.aspx

    Quand s’en vient le temps des fêtes, on cherche des cadeaux originaux. A l’heure des tablettes, des jeux vidéos, des DVD et autres gadgets, les foires de Noël de la Bouquinerie Gravel proposent des cadeaux traditionnels, des objets que nos enfants manient de moins en moins malheureusement. Des livres... Et en français s’il vous plait!

     

    La Bouquinerie Gravel c’est une histoire d’amour et d’amitié qui dure depuis plus de 20 ans. L’amour d’abord : celui des beaux livres, de la lecture, du français, de la Saskatchewan et ses communautés. L’amitié ensuite : celle qui lie le couple Vezina (Michel et Pauline) et le couple Lepage (Henri et Maria) depuis des décennies, dans le business comme dans la vie quotidienne à Gravelbourg.

    Ils parcourent inlassablement les routes pour amener dans les écoles francophones des centaines de livres, afin de transmettre leur passion aux parents et aux enfants. Ils ont une clientèle fidèle, on les attend même parfois devant la porte pendant qu’ils déchargent le camion. « Nos clients ne magasinent pas juste chez nous. Mais quand on vient, ils magasinent chez nous! »

    Leur espace de vente principal se situe à Gravelbourg. En plus de la librairie, ils ont du diversifier leurs activités pour survivre, louer des espaces dans leur bâtisse. Une autre librairie francophone avait ouvert ses portes à Prince Albert, mais elle a fermé il y a 15 ans déjà. Alors la joyeuse équipe doit continuer à traverser la province du Nord au Sud. Seule.

    Parcourir les routes pour venir à la rencontre des communautés est toujours aussi motivant. Par contre avec l’âge qui monte, Maria Lepage nous avoue que lever des boites de livres pesantes devient difficile. Au cours des deux dernières décennies, avec l’augmentation du nombre d’écoles proposant des programmes de français, elle constate avec plaisir qu’il y a de plus en plus de jeunes qui lisent en français. Il y a aussi plus de variétés dans les bibliothèques. « Il y a 20 ans, il y avait 3 tablettes de livres en français au maximum dans les écoles! »

    Et les jeunes ne s’y trompent pas. Dès que Maria Lepage déplie ses nappes, les jeunes s’approchent gaiement en demandant « C’est bien vous la dame de la bouquinerie? ». Et oui, c’est bien elle, et ce n’est pas prêt de changer!

    Retrouvez la bouquinerie Gravel les 27 et 28 novembre à la Saskatoon French School, et  les 30 novembre, 1er et 2 décembre à Regina à l’École Monseigneur de Laval.

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  • De plus en plus de séries Télés "produites en Afrique"

    Depuis quelques années déjà les séries télévisées se multiplient en Afrique, tant et si bien que la réputation de certains pays comme le Nigéria n'est plus à faire en matière de téléfilm. "Nollywood" est ainsi devenu le troisième producteur de films après Los Angeles et Bombay.

    L'Afrique francophone n'est pas en reste comme le montre ces deux articles du journal Jeune Afrique

    http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20090826T094126Z/culture-m-dias-audiovisuel-t-l-vision---les-s-ries-t-l-triomphent-avec-leurs-histoires-de-familles.html

    Lancée en 2002 et diffusée tous les dimanches soirs sur la télévision publique, la bien nommée "Ma famille" a ouvert le chemin et pulvérisé les records en Côte d'Ivoire, jusqu'à sa disparition des écrans en 2007.

    "Tous les annonceurs" voulaient que leurs publicités passent sur ce créneau horaire, explique à l'AFP Sanga Touré, chef du département des programmes de la Radio télédiffusion ivoirienne (RTI).

    La série, emmenée par la comédienne et réalisatrice Akissi Delta, était devenue une "espèce de messe", se souvient le cinéaste Fadika Kramo. Dans les salons de coiffure ou au bureau, on commentait chaque lundi l'épisode de la veille, clamant son admiration pour le coureur de jupons Bohiri ou plaignant la naïveté de son épouse Delta.

    "Ma famille" a généreusement essaimé. Les comédiens, qui font les délices de la presse people, se sont retrouvés dans les séries à succès qui ont suivi, "Nafi" et "Un homme pour deux soeurs"...

     

    http://economie.jeuneafrique.com/index.php?option=com_content&view=article&id=23926

    La nouvelle chaîne satellitaire de Canal+ mise sur les séries africaines. Une bonne nouvelle pour les producteurs d'Abidjan, qui manquent de financements comme de canaux de diffusion.

    Fin décembre à Abidjan. Au fond de la cour de sa maison, Yolande Bogui a disposé des chaises en plastique pour accueillir comédiens et techniciens. À l'autre bout, la productrice de la série L'Histoire d'une vie a fait reconstituer, sur 20 m2, l'intérieur d'un poste de police. Le décor est minimaliste. Derrière un comptoir, une inscription "Commissariat" et un drapeau ivoirien peints à la hâte permettent de situer la scène, tandis que sur la gauche du cadre deux hommes, torses nus derrière une grille, jouent les détenus pour la circonstance.

     

    Comme Nollywood, sa grande soeur nigériane, l'industrie audiovisuelle abidjanaise - surnommée Babiwood - ne possède pas de grands studios. La débrouille règne en maître. Pour réduire les coûts, Yolande Bogui a donc pris l'habitude de tourner chez elle, dans le quartier d'Angré (commune de Cocody). Fin janvier, elle doit livrer l'ensemble de la deuxième saison de sa série à A+, la nouvelle chaîne satellitaire panafricaine du groupe français Canal+. Son directeur général, Damiano Malchiodi, est indulgent : "La perfection des décors n'est pas la première préoccupation des téléspectateurs, même si nous poussons les producteurs à évoluer sur ce plan, comme sur ceux de la prise de son et de la réalisation. Ce que veulent voir les gens, ce sont des personnages auxquels ils peuvent s'identifier."