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politique

  • L'agence France Presse a 70 ans et 200 ans d'histoire

    Depuis 1835 l'agence d'information Havas informe le monde et a la primeur des nouvelles qui changeront le monde. En 1944, à la fin de l'occupation Allemande, l'agence renaît et se cherche un nouveau souffle. C'est ainsi qu'elle deviendra l'Agence France Presse en janvier 1945. 70 ans plus tard, l'agence continue à être en pointe en matière d'information et c'est dans un Paris encore ému par la mobilisation qui a suivi les terribles attentats contre la presse et contre les juifs que c'est tenu la cérémonie célébrant l’événement :

    le site de l'agence France Presse :

    En 1835, Charles-Louis Havas décide de rassembler des informations en provenance du monde entier, de les traduire et de les vendre. C'est ainsi que naît à Paris la première agence d'information, l'Agence Havas, qui deviendra l'Agence France-Presse (AFP) après la Seconde Guerre mondiale. Première entreprise à avoir une stratégie internationale de développement, elle est présente sur tous les fronts : pendant la guerre de Crimée, à Paris assiégé par les Prussiens en 1871, en Espagne pendant la guerre civile, en Syrie depuis la révolte de 2011... Son histoire est émaillée de scoops comme la mort de Staline en 1953, le drame des Jeux olympiques de Munich en 1972 ou la disqualification de Ben Johnson au 100 mètres des JO de Séoul en 1988.(...) Le Monde en direct raconte l'aventure exceptionnelle et passionnante de cette entreprise et de ses collaborateurs qui ont su, au gré de l'Histoire et malgré les vicissitudes, maintenir une ambition mondiale : fournir en permanence, partout dans le monde, une information fiable, vérifiée et immédiate.

     

    Le Figaro raconte l’événement :

    LE SCAN POLITIQUE - L'agence de presse fêtait lundi soir ses 70 ans d'existence, en présence du président de la République de plusieurs membres du gouvernement.

    Dans quelle soirée parisienne peut-on croiser pêle-mêle Marine le Pen, Claude Bartolone, Florian Philippot, Manuel Valls, Fleur Pellerin, Gérard Larcher, Bruno le Maire… et même François Hollande? L'anniversaire de l'AFP! Alors que l'agence de presse soufflait ses 70 bougies hier, le président a prononcé un plaidoyer pour la liberté de la presse et à répondu aux manifestations de colère qui visent la France, après la publication d'une nouvelle caricature de Mahomet en une du dernier Charlie Hebdo.


    http://bcove.me/lgll00qo

  • Un premier ministre francophone au Nouveau Brunswick

    C'est assez peu connu, mais la petite province de l'est du Canada, le Nouveau-Brunswik est dirigée depuis le mois d'août par un nouveau premier ministre Acadien, Brian Gallant :

     

    http://ici.radio-canada.ca/sujet/elections-nb-2014/2014/08/19/003-chefs-brian-gallant.shtml

     

    Brian Gallant est élu chef du Parti libéral du Nouveau-Brunswick le 27 octobre 2012 et député de Kent le 15 avril 2013, à la suite de la démission de Shawn Graham. Brian Gallant est chef de l'opposition officiel depuis le 30 avril 2013. Après avoir fait deux baccalauréats, en Administration des affaires et en Droit, à l'Université de Moncton, il a fait une maîtrise en Droit à l'Université McGill. Brian Gallant a été avocat chez Veritas Law à Dieppe et chez Stewart McKelvey à Moncton.

    À l'élection provinciale de 2006, Brian Gallant s'est fait remarquer alors qu'il était candidat libéral dans Moncton-Est, la circonscription détenue par le premier ministre de l'époque, Bernard Lord. Il avait eu droit à une couverture médiatique considérable, sur les plans tant provincial que national, parce qu'il avait réussi, à 24 ans, à convaincre 41 % des électeurs.

    En tant que chef du Parti libéral, Brian Gallant a fait de l'éducation son cheval de bataille électoral. Les libéraux ne cessent de gagner en popularité dans les sondages depuis l'arrivée de Brian Gallant à la tête de la formation. Lorsqu'il a été élu chef, son défi principal a été de ramener les libéraux à l'avant-plan de la scène politique néo-brunswickoise, après la défaite importante des libéraux à l'élection de septembre 2010.

    Brian Gallant est souvent critiqué pour son manque de prises de positions claires sur différents enjeux. Le dossier de l'industrie du gaz de schiste en est un exemple. Il projette l'image d'un chef hésitant, qui a de la difficulté à prendre des décisions. Il a souvent été la cible de critiques qui lui reprochaient d'être absent de la scène politique. Sa crédibilité et son expérience ont été remises en question par les progressistes-conservateurs. Ces derniers lui ont notamment demandé son curriculum vitae à l'Assemblée législative, ce qui pourrait être une de leurs munitions contre le jeune chef.

    Il se présente comme un travailleur acharné prônant des valeurs familiales, issu d'un milieu défavorisé. Selon sa biographie officielle, il a créé et exploité deux petites entreprises pour payer ses études universitaires.